Aluminium dans les vaccins : analyse piquante d’une étude pas si toxique

Paris, le samedi 23 décembre 2017 – L’année a été tellement marquée par les polémiques autour de l’extension de l’obligation vaccinale qu’il paraissait difficile de l’achever sans relayer une dernière analyse concernant un élément central de ces discussions : la toxicité supposée des adjuvants aluminiques.

Une révolution ?

Cette année encore en effet, l’équipe du professeur Romain Gherardi, chef du service neuromusculaire à l’Hôpital Henri Mondor de Créteil, a mis en avant ses travaux concernant les adjuvants aluminiques. En ligne de mire notamment, des travaux publiés fin 2016 dans la revue Toxicology suggérant « que même injecté à faible dose dans des muscles de souris, l’adjuvant aluminique peut induire une accumulation d’aluminium à long terme et des effets neurotoxiques » avait expliqué en septembre 2017 la chercheuse Guillemette Crépeaux citée par Sciences et Avenir. La présentation de ces résultats s’était accompagnée d’une inévitable polémique quand certains avaient voulu faire croire que les recevant, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait estimé qu’il s’agissait là d’éléments fondamentaux devant nécessairement être l’objet de financements complémentaires. Dans les faits, aucun consensus n’avait pu être trouvé parmi les experts de l’ANSM et leur conclusion globale signalait la nécessité de poursuivre des travaux encore non définitifs.

Sans hésitation

Ces derniers ont été l’objet d’une analyse détaillée de la part des auteurs scientifiques du blog Rougeole Epidémiologie. Il faut dire que ces derniers, qui ont fait de l’étude des vaccins leur spécialité, ne pouvaient qu’être intrigués par l’affirmation sans nuance du professeur Gherardi, qui au micro par exemple de Jean-Jacques Bourdin sur RMC cet automne, interrogé sur les adjuvants aluminiques a répondu : « Chez l’animal, ils sont neurotoxiques. Il n’y a aucune espèce d’hésitation à le dire ». Il faut donc que les résultats de sa dernière étude soient si spectaculaires pour que le praticien ne prenne plus la précaution du conditionnel habituel.

Heureusement que les liens d’intérêt ne sont toxiques que si l’industrie est en cause !

Aussi, les experts de Rougeole Epidémiologie se sont penchés sur ces travaux. Comme tout bon lecteur d’études qui se respectent, ils se sont d’abord concentrés sur la question des conflits d’intérêt. Bonne surprise : « Les auteurs de l’étude ne déclarent aucun conflit d’intérêts ». Mais est-ce si sûr ? Les liens entre le professeur Gherardi et l’association Ensemble contre les myofasciites à macrophage (E3M) sont publiquement connus. « Cette association regroupe des personnes atteintes de ce qu'elles appellent donc "myofasciite à macrophages", soutenant que leur pathologie est causée par les adjuvants aluminiques. Cette association a participé au financement des études de Gherardi à hauteur de 80 000 euros. Sans compter le lobbying de l'association auprès de l'ANSM pour financer aussi les travaux du chercheur (à hauteur de 150 000 euros). Notons que ces sommes ne sont pas énormes pour de la recherche. Il n'est pas question ici de prétendre qu'il y a une histoire de gros sous derrière ce lien. Il faut simplement reconnaître que la proximité entre le chercheur et l'association est indéniable » remarque le blog. Est-ce grave docteur ? Les auteurs de Rougeole Epidémiologique n’ont pas fait de la traque des conflits d’intérêt leur priorité comme ils l’avouent facilement : « Nous, on doit l'avouer... on s'en moque un peu que ces liens ne soient pas déclarés dans l'article. D'abord, parce qu'on le savait déjà, mais aussi parce que ça ne veut pas forcément dire que l'étude est mauvaise pour autant. On va la lire avant de juger ». Néanmoins, ils ne peuvent s’empêcher de sourire : «  Mais c'est cocasse, au vu de la vision de E3M concernant les conflits d'intérêts. Dans ce document de 2015, on assiste ainsi à la mise au pilori de ceux qui ne sont pas d'accord avec l'association, en dénonçant leur "proximité intellectuelle et financière" avec l'industrie pharmaceutique. Si on appliquait les critères de E3M, on pourrait alors dire que "La proximité intellectuelle et financière de Gherardi avec l'association E3M n'est pas un gage d'indépendance lorsqu'il s'agit de se prononcer sur l'origine d'une maladie qui est une certitude pour ceux qui financent une partie de ses travaux" » s’amusent-ils. De la même manière, ils observent que l’étude a été financée, outre l’ANSM, par le Children’s Medical Safety Research Institute (CMSRI). « Le CMSRI est une émanation de la "Dowskin Family Foundation", une association antivaccinaliste (qui se définit plutôt comme "pour des vaccins plus sûrs", évidemment). Gherardi siège au "scientific advisory board" du CMSRI (de même que Exley et Shaw, deux des auteurs de l'étude). Le CMSRI, c'est le genre à affirmer que Wakefield est une victime et non un escroc. Du coup, on en arrive à des situations surréalistes dans lesquelles Gherardi et Wakefield sont invités à s'exprimer au cours d'une même conférence (en Jamaïque par exemple, mais après on va râler parce que l'industrie pharmaceutique paierait les vacances des médecins, déguisée en conférences et séminaires, tout ça tout ça...), conférence subsidiée par le NVIC (National Vaccine Information Center, la ligue antivax US), elle-même en lien étroit avec... la Dowskin Foundation ! » épinglent-ils.

Quelques (rares) bons points

Si cette entrée en matière donne un aperçu du ton et de la position a priori des auteurs du blog (position qui transparait encore dans le fait qu’ils semblent juger suspecte la rapidité avec laquelle l’article a été accepté), ils ne se montrent cependant pas systématiquement critiques. Ils notent par exemple que les auteurs de l’étude « sont conscients » du fait que « les conclusions d’études animales ne sont pas systématiquement applicables à l’humain ». Ils relèvent encore que « la conversion des doses de l’homme à la souris » utilisée dans l’étude répond aux recommandations de l’ANSM et signalent qu’il s’agit d’un « bon point ».

Artefact scientifique ?

Mais au-delà de ces éléments positifs, l’étude paraît entachée de multiples biais qu’énumère l’analyse du blog. Ses auteurs ont notamment pu faire la constatation de nombreux écarts entre les données publiées et celles présentées lors d’une conférence en mars 2016. Ainsi, un cinquième groupe de souris « sensé représenter le cas d’un vaccin chez l’humain » ne figure pas dans l’article final. En outre « Certains résultats de l’article dans sa version publiée ne sont pas cohérents avec ceux présentés en mars 2016 ». Au-delà de ces décalages, les auteurs du blog signalent qu’il existe un « possible biais d’observation lors des tests comportementaux » en raison de l’absence de protocole en aveugle. Surtout, il apparaît que seuls six tests sur les trente-six réalisés sur les quarante souris sont significatifs. Sur les six tests restants, seuls quatre confortent la conclusion des auteurs qui veut qu’il existe une « différence significative » dans le groupe ayant reçu la plus faible dose (le groupe 200). « Finalement, on remarque qu'on a quand même 30 sous-tests qui disent "rien à signaler", pour seulement 4 sous-tests qui disent "attention à la faible dose" et 2 sous-tests difficilement interprétables. A ce stade, on ne peut même pas vraiment exclure la possibilité que les résultats significatifs puissent être (tout ou en partie) le fait du hasard. Par exemple, si vous faites plusieurs séries de 10 lancers de pièce, au bout d'un moment, vous allez tomber sur des séries avec un grand écart entre le nombre de piles et de faces qui pourraient laisser croire que la pièce est truquée alors qu'elle ne l'est pas. Ce sont des artefacts statistiques. C'est le problème des tests-multiples. (…) On ne peut donc exclure le fait que l'effet significatif de départ soit un artefact statistique » remarquent les auteurs du blog. Ils pointent également du doigt de nombreuses données manquantes.

Données manquantes

Par exemple à propos de « la densité dans la région "ventral forebrain", impliquée dans l'anxiété. Les groupes contrôle et 200 sont significativement différents (plus de cellules pour le groupe 200). On doit donc comprendre que les souris du groupe 200 ont un niveau d'anxiété différent des souris du groupe contrôle. Mais les auteurs ne donnent pas les valeurs pour les groupes 400 et 800. Nous pensons que si les conclusions de l'étude sont que l'adjuvant migre plus facilement lorsqu'il est à faible dose, il serait normal de donner aux lecteurs les valeurs obtenues à des doses plus élevées pour comparaison. Dans la présentation de mars 2016, on peut trouver les valeurs pour le groupe 800 (…). Étrangement, dans la présentation, la valeur de "p" entre le groupe contrôle et le groupe 200 est très légèrement supérieure à 0,05 (0,056 en fait), ce qui ne serait indicatif que d'une tendance à strictement parler et non d'une différence significative. Dans l'article, p est inférieur à 0,05. Que s'est-il passé entre mars et novembre ? » s’interrogent les auteurs.  Les responsables du blog évoquent par ailleurs le fait que « seules trois souris servent aux analyses de cellules microgliales et de tissus musculaires alors que cinq ou dix souris auraient pu être utilisées ». Enfin, ils déplorent des « incohérences entre la zone du cerveau affectée par les adjuvants (…) et les résultats des test comportementaux ».

A la faveur de cette lecture, les auteurs du blog ne peuvent qu’être déçus que les promesses médiatiques ne soient pas tenues et suggèrent avec malice que ces travaux pourraient simplement conduire à augmenter la teneur en aluminium des adjuvants, si ce sont les faibles doses qui sont problématiques !

Voilà qui est piquant.

Pour lire en détail cette analyse vous pouvez consulter : http://rougeole-epidemiologie.overblog.com/2017/10/gherardi-mediatic-story-2-ou-3-verites-embarrassantes-sur-ses-etudes.html

Aurélie Haroche

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Vos réactions (30)

  • Conflits d’intérêt...

    Le 23 décembre 2017

    Et les conflits d’intérêt du Jim ? Rien à déclarer non plus ?

    Dr Alberto Dominguez

  • Un article bien allumé et illuminé

    Le 23 décembre 2017

    Ayant assisté à une présentation de son étude hormis un charisme incroyable du professeur et d'une pédagogie sans égale, il ne cache pas en effet plusieurs points: il n'a aucun conflit d'intérêts avec l'industrie pharmaceutique :-)). Le vaccin hexavalent serait moins toxique que les vaccins avec moins de de Valences pour la raison évoquée dans l'article car ne passerait pas la BHE (Barriere hématoencéphalique). Seules des souris "spéciales" c'est à dire avec une certaine porosité de cette BHE ont été utilisées pour montrer que l'aluminium se deplace du point d'injection jusqu'au travers de la BHE. Que cette migration se fait dans un espace de temps relativement long. Il en conclut que si on extrapole à l'homme l'aluminium en petite quantité (et non en grosse) chez certains humains (autrement dit chez certains qui auraient génétiquement une BHE poreuse à l'aluminium) passerait cette BHE. À la fin il a recommandé plutôt l'utilisation des vaccins hexavalents ! Ce qui est une mauvaise nouvelle pour les antuvaccins. À noter que E3M ne se revendique pas à ma connaissance comme une association anti vaccin mais anti adjuvants aluminium.
    Ces propos n'engagent que ma compréhension des présentations qui m'ont été faites.

    Dr Frédéric Langinier

  • Transparence et lucidité

    Le 23 décembre 2017

    Tout d'abord je vous remercie de m'avoir accordé la possibilité de m'abonner et de m'exprimer sur le JIM. Le représentant des patients que je suis apprécie...
    Vous « achevez cette année » en rediffusant certains passages d’un article écrit le 13 octobre 2017 par Julie et Louise, qui tiennent le blog « rougeole-épidémiologie ».
    « Qui nous sommes n'a pas d'importance », disent-elles… Curieuse manière de penser ! Et cela ne semble pas vous perturber outre mesure… Lorsque l’on veut intervenir dans un débat qui concerne la santé publique, la moindre des choses est de faire preuve de transparence.

    Julie et Louise font référence à nos « liens d’intérêts » avec l’équipe INSERM des Pr Gherardi et Authier, en mentionnant les 80 000 € apportés par E3M pour les recherches menées sur l’aluminium vaccinal, ainsi qu’à notre « lobbying auprès de l'ANSM pour financer aussi les travaux du chercheur (à hauteur de 150 000 euros) ».

    Nous sommes une association de malades. Dès 2001, nous avons réclamé que des recherches soient financées par les pouvoirs publics afin que l’on sache si oui ou non notre maladie était induite par les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants vaccinaux. Ce financement n’est jamais arrivé…

    Alors oui, ce sont les malades et leurs proches qui, malgré leurs faibles moyens (car souvent en invalidité et demi-traitements), ont apporté 80 000 € sur 10 ans à la recherche (1), et qui de plus ont fait deux grèves de la faim pour qu’un financement public soit enfin affecté à la recherche sur l’aluminium vaccinal en décembre 2013 (via l’ANSM, sur décision de la ministre de la santé). Il est d’ailleurs « piquant » de connaitre le sentiment de Mme Alperovitch, présidente du Conseil Scientifique de l’ANSM: « Les études supportées par l'Agence ont permis de faire avancer la recherche sur le sujet des adjuvants aluminiques » (2) …

    Nous avons notre conscience pour nous. Les derniers résultats de la recherche au niveau mondial (3) ne devraient laisser personne indifférent. Il est urgent que les pouvoirs publics (et les "experts non identifiés") fassent preuve de lucidité et s’unissent pour protéger la population, plutôt que de mener des combats d’arrière-garde.

    Didier Lambert
    Président E3M
    (1) https://www.vaccinssansaluminium.org/financer-la-recherche/
    (2) http://ansm.sante.fr/content/download/110447/1399057/version/2/file/CR-CS-ANSM+2017-03-08_sequence-BNAA-Vacc.pdf
    (3) https://www.vaccinssansaluminium.org/laluminium-est-sur-la-sellette-nen-deplaise-a-linserm/

  • Aluminium des capsules de café

    Le 23 décembre 2017

    Que peut on dire de la consommation quotidienne de café contenu et chauffé dans des capsules d'aluminium ? La zone pharyngée est privilegiée pour le passage de la barrière hematoencephalique !

    Dr Lucien Duclaud

  • L'INSERM prend position sur les vaccins !

    Le 24 décembre 2017

    Que dit la science à propos des 11 vaccins obligatoires en France à partir de 2018 ?

    https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/dit-science-propos-11-vaccins-obligatoires-en-france-partir-2018

  • Le rapport bénéfice-risque des vaccins est positif, pas celui des antivax

    Le 24 décembre 2017

    Il est légitime de se poser des questions, c'est la base de la médecine, qui se remet en cause régulièrement, et les vaccins font partie de ce débat. Mais à ce jour le rapport bénéfice-risque des vaccins est positif. Donc, c'est aux anti-vaccins de nous apporter les chiffres précis du nombre de vie sauvées si on suivait leur "recommandations". Mais cela n'est pas leur propos, il veulent juste être contre.

    Si sauver des vies n'est pas leur but, alors pour quels motifs dépenser autant d'argent et d'énergie ? Est-ce sur un fond d'idéologie, de croyances, de dogme, de religion ? Est-ce pour obtenir des indemnisations ? C'est ce débat qu'il faudrait ouvrir et qu'ils exposent leur lien d'intérêt et nous donne la finalité de leur action en termes de santé publique. En toute transparence.

    Dr Philippe Mayran

  • Fusionnez !

    Le 25 décembre 2017

    M Lambert,
    Fatigue chronique, douleurs musculaires, articulaires, difficultés cognitives...

    A la lecture des symptômes dont sont victimes les malades de la myofasciite à macrophages (http://www.asso-e3m.fr/la-maladie/), vous auriez probablement intérêt à fusionner avec les associations du Lyme chronique et de l'intoxication aux métaux lourds...

    Mon point de vue est que ces associations sont le reflet d'une hystérisation sociétale. Malheureusement elles détournent de façon croissante les ressources (humaines avant tout) des pouvoirs publics qui sont politiquement contraints de les caresser dans le sens du poil pour éteindre les incendies médiatiques.

    L'affaire Lévothyrox relève vraisemblablement du même phénomène. Car sur plusieurs millions de personnes consommatrices, il était statistiquement prévisible que des milliers ressentent des symptômes subjectifs concomitammant au changement d'excipient, et ce en toute connaissance de cause (effet nocebo) ou non (fruit du hasard). Il ne restait, comme d'habitude, qu'à désigner le coupable.

    Le phénomène doit inquiéter. Comment prendre en charge ces personnalités monomaniaques qui trouvent leur salut dans le combat associatif ultra-focalisé comme elles le feraient dans une milice, prêtes à tout pour défendre une croyance ?

    Dr E G

  • Il faut des recherches

    Le 25 décembre 2017

    Quand je vous lis je me demande toujours où vous avez fait vos études et si vous n'avez pas oublié le serment d'Hippocrate.
    Pour vous répondre brièvement, vous mettez dans le même sac, les victimes de vaccins et les anti vax. Or, il serait peut être intéressant de financer des études qui permettraient de faire le point sur les effets secondaires (plutôt que de les nier). Il faudrait aussi considérer qu'un vaccin est identique à un médicament et doit être soumis à la même rigueur au niveau des AMM. Ainsi ils devraient y avoir des études de pharmacocinétiques, d'oncogénèse etc... Ce n'est pas le cas et c'est dommageable pour la santé. Alors même que la ministre a décidé d'acter la vaccination obligatoire avec 11 vaccins, dont 8 nouveaux pour les nourrissons, nous ne connaissons pas la portée réelle de ces vaccins.

    Il y a de quoi se poser des questions et beaucoup de questions. Quelle étude permet d'étudier à court moyen et long terme l'incidence d'une vaccination multivalentes? Je connais parfaitement les études du professeur Ghérardi, et j'ai bien entendu le professeur dire qu'en effet ce serait intéressant de coupler les valences dans une seule injection mais que l'hydroxyde étant l'aluminium il fallait tout de même compléter les recherches. Il n'a pas statué.

    Il faut des recherches, à moins que l'on considère que l'on veut se servir des nourrissons qui naîtrons à partir du mois de janvier comme de cobayes... Car malgré ce que peut dire l'INSERM, (au fait qui est le PDG de l'INSERM?) nous n'avons pas assez de recul et la balance bénéfice risque ne peut fonctionner que si les deux côtés sont alimentés...

    J'ai bien lu leur affirmation qui indique que le lien SEP/VHB n'est pas prouvé. Il y a 3 études indépendantes qui montrent le lien!
    Mais n'est-ce pas on préfère toujours répondre qu'il n'y a pas de liens plutôt que de prendre en charge les victimes. Continuez et vous verrez que vous allez être contre productifs... Pourquoi il y a une telle défiance?
    Parce que vous êtes toujours en train de nier les faits...
    C'est pathétique.

    C. Gaches.

  • @Gaches

    Le 26 décembre 2017

    La littérature est sans ambiguïté sur le sujet : la vaccination HBV ne provoque ni SEP, ni autre maladie auto-immune.

    Pour ce qui est de nier les faits, je vous érige donc au rang d'expert...

    EG

  • Maalox

    Le 26 décembre 2017

    Nous pharmaciens, colmatons depuis des années des ulceres parfois saignants avec du Ma-al-ox.
    Il ne semble pas qu'il y ait passage systémique, sans cela les anti adjuvants l'aurait détécté,n'est ce pas...

    Maignan, Pharmacien

  • @EG

    Le 28 décembre 2017

    Vous avez 3 études indépendantes qui le montrent, il y a aussi le professeur Begaud qui est tout de même pharmacologue qui l'écrit.. Donc...

    C. Gaches

  • 20 ans defausse alerte (@Gaches)

    Le 28 décembre 2017

    "Le nombre de cas déclarés dans la population vaccinée pour chacune de ces pathologies est inférieur au nombre de cas attendus dans la population générale"

    Il s'agit du résultat de la pharmacovigilance rapprochée sur 11 millions de doses du vaccin HBV.
    De quelles pathologies s'agit-il ? Je vous invite à parcourir ceci :
    http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/f6c024ab94698457d8ae667fd5c98206.pdf

    "Plusieurs centaines de millions de personnes dans le monde ont reçu le vaccin contre l’hépatite B sans qu’un signal particulier portant sur le risque de développer une sclérose en plaques ou d’autres maladies démyélinisantes du système nerveux n’apparaisse dans ces pays."

    "Les différentes études épidémiologiques publiées ne permettent pas de retenir un lien entre la vaccination contre l’hépatite B et les effets indésirables surveillés. Pour ce qui concerne le signal concernant les affections démyélinisantes du système nerveux, les trois études épidémiologiques mises en place par l’Afssaps vont dans le même et sont concordantes avec les données internationales"

    Ca fait 20 ans que la fausse alerte a été lancée...alors combien de temps allez-vous continuer à nous fatiguer avec ça ?

    Dr EG

  • Réponse à EG

    Le 29 décembre 2017

    La France a été le seul et unique pays à vacciner massivement contre l'hépatite B plusieurs millions de personnes. C'était la seule façon d'arriver à mettre en lumière un effet indésirable rare. L'étude du Dr Le Houezec le montre bien, et l'explication se trouve sans doute dans l'utilisation des sels d'aluminium. On le maintiendra toujours car les victimes existent et continuent d'arriver, même chez les enfants ne vous en déplaise.

    C. Gaches

  • Tournez la page du vaccin HB...

    Le 29 décembre 2017

    L'incidence de l'hépatite B aigue est passée de 8000 cas annuel en 1994 à 650 cas environ à partir de 2003 (et pourtant la couverture vaccinale, grace à vos fausses alertes, est rien moins que ridicule face à nos voisins européens...), soit une réduction de 1 sur 10 des décés par hepatite aigue, cancer du foie, etc...

    C'est quand meme curieux, voire quasi psychiatrique, de s'acharner à vouloir démontrer le déclenchement d'une SEP par vaccin de l'ordre de quelques cas pour 20 millions de vaccins, tous chez des adultes à un age habituel de déclenchement de la maladie "tout venant", alors même qu'on a aucun cas retrouvé de SEP sur plus de 2 millions de bébés vaccinés, en oubliant systématiquement de parler des vies sauvées par la vaccination.

    Franchement, changez de sujet, celui ci est cuit et archi cuit...

    Dr E Orvain

  • Etudes ANSM ?

    Le 29 décembre 2017

    Vous me parlez d'études ANSM quand vous savez que l'ANSM (anciennement AFSAPPS) n'a jamais été capable d'assurer correctement la pharmacovigilance des médicaments et vaccins mis sur le marché. Comment penser une seule seconde qu'ils ont été capables de répertorier correctement les effets secondaires d'un vaccin?
    Nous leur avions assuré plus de 72 % en 2010 des remontées d'effets secondaires des vaccins contre l'hépatite B, alors que cela ne représente qu'un à 10% des effets réels d'après l'ANSM lui même.

    De plus, l'étude Hernan, l'étude Geier, l'étude Langer Gouldt dans la première année, mais aussi l'étude Le Houézec montre que cet effet secondaire est réel. Le professeur Begaud, pharmacologue indique lui même que c'est contre productif de nier ainsi les victimes. Même un effet secondaire rare, est un effet qui existe!
    D'ailleurs, je vais vous le dire, les victimes que je rencontre, (au quotidien) en ont marre de vos affirmations péremptoires, à vous médecins, et perdent toute confiance en vous. Réfléchissez bien ...

    C. Gaches

  • Nouvelle réponse à C Gaches

    Le 30 décembre 2017

    Le Houezec...ah oui, celui qui a confondu signal de pharmacovigilance et lien de causalité.
    Vous vous référez au peu qui alimente vos croyances...pourtant le recul est maintenant suffisant (à l'échelon mondial !)

    Mais rassurez-vous, vous pouvez maintenant vous défouler sur d'autres os à ronger : électrosensibilité, Lévothyrox, Lyme chronique...ce n'est pas le choix qui manque.

    Dr EG

  • Nausée

    Le 30 décembre 2017

    Epargnons-nous toute discussion avec des sourds !
    C. Gaches = présidente de l'association REVAHB.

    Quand je lis ceci en tête de gondole sur le site de cette association, cela me donne la nausée :"Une secrétaire médicale a touché 190 000 euros de la part de l’ONIAM pour avoir développé une myofasciite à macrophage suite au vaccin contre l’hépatite B, qu’elle avait reçu de façon obligatoire."

    Je pronostique qu'inévitablement, un jour, vous serez condamnée suite à des plaintes émises par des victimes de l'hépatite B, victimes que des gens comme vous auront dissuadées de la vaccination. Parce que prétendre que le vaccin provoque des effets secondaires est une chose, mais en reléguer (par voie de conséquence) en arrière plan son incontestable et supérieur bénéfice, c'est simplement "criminel" !

    Nous assisterons également sous peu aux conséquences du mouvement anti-vax sur le risque HPV...notre couverture est de l'ordre de 15%, celle de la Grande-Bretagne obtient plus de 70% grâce à sa (bonne) politique vaccinale.

    Dr EG

  • Couverture vaccinale ? (à C Gaches)

    Le 30 décembre 2017

    Selon les chiffres officiels (et il s'agit de couverture vaccinale, pas d'effets secondaires) de l'IVS, la couverture vaccinale en France des enfants pour l'HB a varié de 40 %( en 2004) à 90 % en 2017 (ça remonte, heureusement).

    Partout en Europe, et spécialement en Europe du sud, les couvertures des enfants ont toujours été supérieure à 90, voire 97 % des 2004.
    Il est donc faux de dire que c'est "la vaccination de masse en France" qui a permis de voir apparaitre des SEP, puisque la France est et a toujours été le pays le moins bien couvert. La réalité, c'est que l'apparition de maladies demyelinisantes suite à la vaccination anti HB est bien une affaire Franco-française, et continuer à faire croire aux victimes de SEP que c'est la vaccination qui est responsable est un mensonge entretenu depuis 20 ans, qui fait de la France un pays rétrograde où on est obligé de rendre des vaccins obligatoires pour espérer vacciner les gens (En Suede, avec plus de 90 % de couverture pour quasi tous les vaccins, on a pu retirer l'obligation vaccinale pour la remplacer par une recommandation : grace à vos gesticulations, c'est impossible en France)

    Et encore une fois, vous ne citez à aucun moment les 4000 morts par an économisés grace à la vaccination HB, et non plus (et c'est plus grave) les 1000 par an qui en meurent encore parce que non vaccinés... grace à vous...

    Dr Orvain

  • Non, c'était pas mieux avant (à C Gaches)

    Le 31 décembre 2017

    "Ainsi ils devraient y avoir des études de pharmacocinétiques, d'oncogénèse etc... Ce n'est pas le cas et c'est dommageable pour la santé."
    S'il vous plait, si vous voulez avoir l'air un tant soit peu scientifique, c'est quoi la pharmacocinétique d'un vaccin?

    "Alors même que la ministre a décidé d'acter la vaccination obligatoire avec 11 vaccins, dont 8 nouveaux pour les nourrissons, nous ne connaissons pas la portée réelle de ces vaccins. "

    8 nouveaux ?

    Je suis suffisamment âgé pour avoir connu Berck Plage et ses centaines d'enfants atteints de poliomyélite ou de tuberculose (maintenant, que des accidentés de la route), pour avoir vu mourir de nombreux enfants de rougeole, d’épiglottite à Haemophilus, de méningites à pneumocoques, à méningo C (mais encore de B...), avoir vu naitre des enfants atteints de rubéole congénitale... Et je vaccine plus de cent enfants par semaine, depuis 35 ans, sans accident vaccinal sérieux (c'est statistiquement normal...).

    Non, c'était pas mieux avant.

    Dr François Marie Caron

  • Réponse de C Gaches à vos commentaires

    Le 02 janvier 2018

    C'est bien ce que je vous écris, aucune compassion envers les victimes, niées, alors qu'elles existent, les nourrissons vont continuer de recevoir des vaccins insuffisamment testés.

    Je comprends pourquoi tant de personnes perdent confiance en vous.

    Meilleurs vœux malgré tout.

    C. Gaches



  • Vaccination de masse hépatite B (Réponse au Dr Orvain)

    Le 02 janvier 2018

    N'êtes vous pas informé que la France a été le seul pays à pratiquer massivement une vaccination contre l'hépatite des années 1994 à 1998 ?
    Un beau matin d'avril le Dr Philippe Douste Blazy a annoncé qu'une terrible maladie sévissait en France qu'elle s'appelait l'hépatite B, qu'elle tuait en un jour plus que le SIDA en un an, mais qu'heureusement un vaccin existait !!!Ce vaccin allait être proposé à tous les collégiens entrant en sixième. Et les médecins scolaires et les infirmières ont vacciné massivement les collégiens. mais la campagne publicitaire a été tellement agressive, et disproportionnée, dépassant les recommandations de l'OMS de l'époque, que l'on a vacciné plus de 20 millions de personnes en 4 ans.
    Ce qui n'a été fait dans aucun autre pays à cette échelle. c'est le Dr Bernard Kouchner qui a levé cette campagne massive en 1998 quand il a été alerté par les neurologues qu'il y avait de nombreux cas de SEP qui remontaient suite à ce vaccin. A lire pour connaitre tous les détails le livre d'Eric Giacometti la santé publique en otage: le scandale de la vaccination hépatite B.

    Je précise que oui, je suis présidente du Revahb et que je suis victime également de ce vaccin, comme tant d'autres.
    Je précise également que notre association demande une vaccination ciblée et non une vaccination massive, et que nous pensons qu'il est contre productif de vacciner les nourrissons avec cette valence.

    Pourquoi? Pour deux raisons : la première est un défaut d'efficacité après 15 à 20 ans, relevée dans une quinzaine d'études. Et la seconde car contrairement à ce que vous affirmez, il existe des cas de démyélinisation chez les enfants, ce que l'on ne voyait pas avant l'introduction de cette valence. Nous avons même connaissance d'un cas de SEP chez un nourrisson, reconnu par l'ANSM.
    Nous ne remettons pas en cause la vaccination d'un nourrisson qui a une mère porteuse d'hépatite b.

    Pour finir, si la couverture vaccinale augmente pourquoi en passer par une obligation?
    Avec 13 atteintes de la constitution? Avec le fait d'interdire l’accès aux collectivités aux nourrissons non vaccinés? Alors même que ceux qui auront simplement le vaccin tétravalent ou pentavalent qui seront nés avant le premier janvier pourront intégrer l'école? N'est-ce pas de la discrimination?

    Vous m'indiquez qu'il y a 4000 morts par an évités suite à la vaccination contre l'hépatite b, quelles sont vos sources, car celle du cépiDC de l'INSERM ne sont pas les mêmes, et je souhaites avoir des données fiables et certaines pas des chiffres lancés au hasard.

    C. Gaches

  • Recherche etude Prof.Begaud sur Maalox

    Le 02 janvier 2018

    ...et, E.G, je n'ai rien trouvé pour le Maalox.Au contraire, une Pharmacienne, Mme Berthelot, sur le site de 60 millions repris sur celui des Temoins de Jehovah,recommande le Maalox (et donc son Aluminium). Puisque nous sommes en face d'un raisonnement "principe de precaution partout", je m'etonne de ne pas voir demandée l'interdiction de la bagnole, qui tue 3 000 personnes et en blesse encore plus chaque année.Et là, personne ne conteste les chiffres.Alors, les purs et durs, on commence quand ?

    Maignan-Pharmacien

  • Oui Maignan, allons-y !

    Le 02 janvier 2018

    Puisque c'est à la mode, montons une association dénonçant les méfaits insupportables du Maalox ! J'en prends pas mais je suis prêt à en sucer un à deux sachets si ça peut me rapporter 190.000 balles dans quelques années !

    Dr EG

  • Une vidéo

    Le 04 janvier 2018

    Cette vidéo pourrait vous amener quelques informations:
    http://www.dailymotion.com/video/xb95gk
    Premier rapport impliquant le vaccin contre l'hépatite B dans l'apparition des scléroses en plaques dates de 1994.

    C. Gaches

  • Quelques données chiffrées

    Le 05 janvier 2018

    Les décès par hépatites virales sont passés de 500 en 1970 à quasiment 0 aujourd'hui. Par contre ceux par hépatites chroniques sont passés d'environ 75/80 dans les années 80 (introduction du vaccin) à 600 aujourd'hui (source INED). La conversion en SEP est de 52 dans les groupes vaccinés contre 32 chez les non vaccinés, encore un signal fort ! Les maladies démyélinisantes ont un coeff de 195 dans l'année qui suit la vaccination, contre 106 dans les 2 années suivantes, encore un signal fort !

    Entre 1988 et 2011, la justice américaine a octroyé 3,5 Md $ aux 16.600 victimes des vaccins dont 1300 neurologiques et 1200 décès post-vaccinaux. Un faible échantillon face aux victimes des vaccins anti-HPV dont, à fin juillet 2016 d'après le VAERS/US, 268 décès et 1480 paralysies irréversibles sur un total de plus de 45.000 effets collatéraux. Le CDC européen, quant à lui, a référencé 352 décès à fin juillet 2015 dus aux 2 vaccins anti-HPV. Le rapport 2014 de l'Agence italienne du Médicament AIFA, après la mise en place de nouveaux protocoles de vaccino-vigilance salués par l'OMS bien qu'infiltrée par le lobby, recense 8.773 effets collatéraux dus aux vaccins dont 1/3 graves et avec entête l'hexavalent et le ROR. Depuis les autorités se font tirer l'oreille pour divulguer ces informations sur ordre de Lorenzin et acolytes du Ministère de la Santé.

    Pour ce qui est de l'efficacité des vaccins, l'OPEPS a organisé une table ronde sur les vaccins en France le 6 juin 2007 sous la présidence du Pr Jean Michel BUBERNARD, Pt de la Com. Aff. Soc. de l'AN. Il a estimé qu'il manque des données scientifiques permettant d'apprécier l'utilité des vaccins et a rappelé qu'il n'existe pas de preuves scientifiques quant à leur utilité. C'est enregistré et on peut aller vérifier... Et BUZYN qui nous répète que les vaccins sont sûrs et efficaces.
    Il est grand temps que l'opinion publique s'empare du sujet et pousse ses représentant à une commission d'enquête parlementaire. Assez de mensonges au détriment de la santé des enfants dont on constate que plus de la moitié, nombreuses études à l'appui, ont une santé globale déficiente.

    Serge Rader

  • Nous les soignerons malgré leurs sottises....

    Le 05 janvier 2018

    Les forums, c'est bien, c'est intellectuellement stimulant ou enrichissant, mais cela permet aussi de dire impunément n'importe quoi... Ce n'est pas de la censure que dire cela, c'est du bon sens, à la lumière des propos de Jean Rostand (je cite de mémoire): " Avoir l'esprit ouvert n'est pas l'avoir perméable à toutes les sottises"...

    Le plus interessant de tout ce débat, est de constater une fois encore que les anti vaccins (une petite dizaine bien motivée) arrivent toujours à déclencher des dépenses d'énergie phénoménales pour leur répondre, alors qu'ils ne peuvent pas comprendre ce qu'on leur dit, parce que tout simplement ils ne veulent pas comprendre. Ils préfèrent la croyance à la connaissance. Il est impossible de comprendre la cohérence, non exprimée, de leurs buts et de leurs modes de pensée (sic ?). Autant discuter astrologie, médecines parallèles, religion ou éducation des enfants ! Bordel stérile intellectuel garanti... !

    Continuons entre nous de constater l'amélioration depuis des dizaines d'années de la santé vis à vis des pathologies évitables par les vaccins, cultivons nous, cherchons, restons lucides devant les problèmes persistant ou survenus, pensons, réfléchissons, évaluons, et vaccinons. Et (c'est le plus important de mon courrier) assurons ces ennemis si bizarres de la santé que nous serons cependant toujours là pour soigner et soulager, et parfois sauver leurs enfants, leurs familles ou leurs entourages qu'ils auront entrainé du mauvais coté de l'intelligence en incitant à rejeter les vaccins. C'était si bien, le moyen âge....! Peut être refuseront ils nos soins, vu la détestation et la suscpicion qu'ils expriment pour les tous pourris que nous sommes...Où puisent ils la "force morale" de décider sciemment que leur enfant sera mieux s'il risque la mort ou des lésions neurologiques épouvantables. Et de décider de contaminer les autres...Je viens certainement de déclencher à nouveau leur rage, je laisse leur suffisance m'invectiver et s'auto exciter..

    Dr Renaud Gartner, retraité

  • Erreur de transcription des propos du Pr. Dubernard

    Le 05 janvier 2018

    http://www.assemblee-nationale.fr/13/rap-off/i0237.asp
    "Le président Jean-Michel Dubernard, député, a estimé qu’il manque des données scientifiques permettant d’apprécier l’utilité des vaccins. Il a ensuite souhaité savoir quelles sont les relations de la recherche et de l’industrie avec les pouvoirs publics aux niveaux mondial, européen et national. Le président Jean-Michel Dubernard, député, en a convenu, rappelant qu’il n’existe pas de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins."

    Sa citation sur l'utilité des vaccins, bien que présente dans le compte rendu de réunion du Sénat, est en fait un erreur de transcription. Un journaliste a procédé à une vérification des enregistrements et à l'interview du pr Dubernard afin de rétablir la réalité des discussions tenues dans cette réunion.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Jean-Michel_Dubernard

    http://www.ouvertures.net/vaccination-les-propos-deroutants-d%C2%B4un-parlementaire/

    Dr Anne-Claire Moreau

  • Et revoici M. Rader...

    Le 05 janvier 2018

    ....fidèle soutien de Joyeux (celui qui affirme dans ses "conférences", entre autres "révélations", que le miel soigne la mucoviscidose et que le venin d'abeille peut guérir la SEP...). M. Rader qui ne donne toujours pas ses sources. Car quand, par chance, on parvient à les trouver, on constate qu'elles disent l'inverse de ce qu'il prétend ; ou qu'elles ont été rectifiées ensuite (comme l'histoire du Pr Dubernard), ou qu'il a été démontré par A+B qu'elles donnaient, volontairement (cf. l'étude Wakefield) ou non, des informations fausses.

    Dr Anne-Claire Moreau

  • En Suisse

    Le 05 janvier 2018

    https://www.tdg.ch/savoirs/sante/vaccination-indispensable/story/23209921

  • Effet indésirable du vaccin anti-HBV

    Le 06 janvier 2018

    Et oui, reconnaissons-le humblement, le vaccin anti-HBV a des effets indésirables : Mme Gaches et son association en sont un, et de taille !

    Dr JP Huisman

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