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La population ne sais plus à quel saint se vouer
Il semblerait que nous n'ayons pas appris les leçons du passé.
H1N1, puis H5N9, et aujourd'hui le coronavirus...
nous recommençons à déballer sur la place publique les désaccords, conflits et différences de point de vue professionnel et scientifique mettant en danger les possibilités d'action auprès de la population pour la prévention que pour le traitement.
La population ne sais plus à quel saint se vouer et c'est bien normal on ne peut pas leur reprocher de ne pas suivre des recommandations parcellaires contradictoires peu claires. La santé publique c'est d'abord la santé du public. Il serait temps qu'on s'en souvienne.
Dr Alain Deccache
Professeur émérite de santé publique Université catholique de Louvain
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Mesures préventives
Je ne comprends pas que l’on oublie d’interdire aux citoyens de cracher par terre, de jeter les mégots et chewing-gums.
Serait il possible de faire remonter ces préconisations?
Dr J Vasseur
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Des leçons constructives
Très bonne analyse, claire, précise, sans langue de bois. Les décisions prises sont certes critiquables à posteriori, c'est bien plus facile à posteriori, et nous le savons bien en matière de diagnostics ou de traitements médicaux, mais surtout, la bonne nouvelle, l'analyse de cette épidémie et de ces prises de décisions nous permettront d'en tirer des leçons constructives et j'espère universelles.
Dr Martine Papaix-Puech
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